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Paranoïa As usual

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Création : 25/02/2008 à 07:43 Mise à jour : 28/02/2014 à 19:25

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V i n g t - N e u f

V i n g t - N e u f

___ C'est horrible, Tom. La sensation d'un tremblement perpétuel paralysant la totalité de mon être. La chaleur qui parcoure mon corps. Mon c½ur qui tape de plus en plus vite. Et tout cela sans en avoir le contrôle.
___ Même Bill ne peut rien faire. Il ne peut pas m'aider. Il ne peut que me regarder et me faire comprendre qu'il est là, tout près.

___ Le moment où tu vas ouvrir cette porte se rapproche. L'attente.
___ Le temps nous a été bénéfique Tom. Le temps a permis des miracles, à sauver nos vies. Il a atténué des cicatrices, les a pansées soigneusement. Le temps était avec nous, de notre côté. Te souviens-tu ? Mais le temps est mauvais pour nous dans cette période de tension. Le temps détruit notre amour. Il rouvre certaines blessures, les laisse à l'air libre. Aujourd'hui le temps est contre nous, il ne nous aide plus.

___ Les jours ont défilé à une vitesse tellement lente que, parfois, je m'en voulais d'être partie aussi vite. Chaque minute qui passait m'éloignait de toi, mais me rapprocher de nos retrouvailles que j'attendais, impatiente. Il était devenu difficile de chasser l'ennui de ces longues journées interminables. Le vide qui régnait dans mon c½ur me tiraillait la poitrine. J'avais tellement mal et tellement honte qu'il m'était impossible de dormir dans notre chambre, je m'allongeais alors, chaque soir, sur le canapé, attendant que le sommeil vienne prendre possession de mon être. Je n'allumais que rarement la télévision, par peur de tomber malencontreusement sur une émission concernant, de près ou de loin, ton groupe et l'hystérie que vous provoquiez partout où vous passiez. De même pour la radio, cela me ferait bien trop de mal.

___ Tu me manques, Tom. Tu me manques tellement qu'il m'arrive parfois de t'apercevoir dans l'ombre du contre jour, accoudé à la fenêtre en train d'épier le jardin. Tu me manques tellement que je ne sens plus les larmes couler sur mes joues, que je ne ressens plus ce mal de ventre infernal qui a pris totale possession de mon corps. À croire que toute cette douleur fait partie de moi, maintenant.

___ Je crois que tu ne comprends pas et que tu ne comprendras jamais ce que je ressens pour toi. Un amour tellement indescriptible, tellement destructeur, tellement fort que je ne saurai le décrire à la perfection. Je sais d'avance que tu ne te rendras jamais compte de la force de mes sentiments, de la brutalité de mon amour, de la vitesse à laquelle bat mon c½ur quand je te vois. Je pense que tu ne te rendras jamais vraiment compte de l'importance que tu as dans ma vie, de la façon dont je t'idéalise, oubli tes défauts, met en avant tes qualités ; de cette putain de façon que j'ai d'être autant dépendante de toi. Malgré tout ce que j'ai pu faire, malgré la distance, malgré mon départ, je t'aime, Tom. Je t'aime comme un c½ur ne peut aimer qu'une seule fois. Avec une telle force, une telle violence, une telle intensité que cela me bousille de l'intérieur, que la souffrance se fait parfois insupportable. Mais tout cela, je le surmonte, grâce à toi, pour toi, pour nous.

___ À ma grande surprise, c'est Bill qui m'a appelé le premier après mon départ, et c'est lui qui continue de le faire sans que je le lui demande, comme ça, sans raison, en cachette, pour me donner de tes nouvelles.


- Tu lui manques.
- Je sais.
- Tu pourrais revenir.
- Je sais.
- Il dors avec ton t-shirt, celui que tu as oublié.
- Je sais.


[ ... ]


- Tom me manque.
- Je sais.
- La maison est vide, sans vous.
- Je sais.
- Je n'allume pas la radio, et encore moins la télévision.
- Je sais.


[ ... ]


- Merci pour les cartes postales.
- Il n'y a pas de quoi.
- Vous êtes vraiment allés dans tous ces pays ?
- Oui.
- Cela doit être fatiguant, non ?
- Oui, mais on n'a pas vraiment le temps de se plaindre, à vrai dire.


[ ... ]


- Est-ce que Tom parle souv...
- Toujours Wendy.
- Ah ?
- Il me dit que tu lui manques, qu'il t'aime un peu plus chaque jour qui vous sépare. Que ne plus t'avoir à ses côtés lui tiraille l'estomac, qu'il lui est difficile de ne pas pleurer quand il se retrouve seul dans sa chambre. Il me chuchote qu'il aimerait arrêter la musique pour te rejoindre mais qu'il ne le fera pas car il sait que ce n'est pas ce que tu veux. Il m'assure que tout va très bien quand je lui demande s'il a besoin de parler, mais baisse le regard et me raconte certains moments que vous avez passés ensemble, dans le passé. Il m'avoue qu'il savait qu'un jour où l'autre tu partirais sans vraiment le quitter, mais qu'il ne pensait pas que ce serait si vite. Il me demande souvent si j'ai de tes nouvelles mais je ne dis jamais plus que « elle va bien ». Il me dit souvent qu'il appréhende vos retrouvailles, qu'il a peur de ce que vous allez devenir.


[ ... ]


- Il a changé ?
- Pas vraiment. Je veux dire, pas énormément. Il s'éloigne un peu, reste dans sa chambre aux moment des repas. Il ne sourit pas autant qu'avant, ne rigole que très peu au blagues de Georg. Il regarde sans cesse son téléphone, je pense pour savoir s'il a reçu un message de ta part. Il s'efforce de rester le même sur scène, mais je vois que c'est quelque chose de vraiment difficile pour lui. Sinon...



___ Je suis revenue une fois. Une fois de trop, sûrement. Pour t'apercevoir en secret, au loin, sentir ton parfum m'enivrer ne serait-ce qu'un peu, pour me redonner la force de continuer sans que tu ne sois à mes côtés. J'ai pris le train et j'ai appelé un de ces taxis allemands que je déteste pour vous rejoindre à l'adresse de l'hôtel où vous dormiez, adresse que Bill m'a soigneusement chuchotée lorsqu'il m'a appelée discrètement. Je me suis assise à une table dans un coin, au fond, où je suis presque certaine de ne pas être remarquée, et j'ai attendu. Attendu patiemment que vous descendiez prendre votre repas tranquillement. Je n'ai pas dit à Bill que je venais, bien sûr. Cela aurait été trop facile, trop prévisible, peut-être ai-je peur, d'une certaine manière, qu'il vende la mèche, qu'il soit tellement anxieux et que tu devines qu'il cache quelque chose. Alors, après qu'il m'ait dictée l'adresse, je suis restée silencieuse, je l'ai remercié et lui ai dit de prendre soin de lui, soin de toi, soin du groupe, aussi, puis j'ai raccroché.

___L'attente se fait longue. Seulement, je sais par habitude que vous mettez du temps avant de venir manger, soit parce que vous rigolez ensemble à propos d'un connerie idiote que Georg vient de sortir, soit parce que vous parlez affaire avec David.

___ Je vois Georg descendre l'escalier, suivit de près par Gustav, riant au éclat. Ils s'assoient à une table que je ne peux pas voir distinctement, trop loin, trop cachée. Mais où es-tu, Tom ? Et où est Bill ? Puis, le temps d'une seconde, l'atmosphère se fait plus pesante, et je sais. Je sais que tu arrives. Mon regard se pose sur toi à la minute où ton pied se pose sur la dernière marche, et je ne te lâche pas des yeux, suivant chacun de tes mouvements attentivement. Bill te suit de près, et à ma grande surprise, vous ne vous êtes pas assis à la même table que nos amis.

___ Je suis cachée derrière mon magazine, que je trouve d'ailleurs inintéressant, et j'essaye d'entendre quelques morceaux de votre conversation. Je distinge quelques blagues, quelques projets pour une tournée future, quelques idées de chansons, aussi. Puis vous vous êtes mis à parler de moi. Tu as une petite voix, ce soir, Tom. Je ne t'entends pas, je ne peux que comprendre ce que dit Bill.


- Oui je sais, Tom. C'est pareil pour moi. (...) Elle est formidable, cette fille, tu sais. (...) Arrête ! Tu dis n'importe quoi, là ! (...) Mais non ! C'est pas du tout ça ! (...) Comment je le sais ? Je... (...) Non, bien sûr que non, je n'ai pas de nouvelles ! Je ne l'ai pas appelé, Tom. (...) Elle va bien, j'en suis sûre. Sinon elle aurait téléphoné, ne t'inquiète pas.


___ À ma plus grande joie, c'est toi que j'ai la chance de voir de face, Tom. C'est ton sourire qui fait briller les étoiles dans mes yeux, c'est ton petit rire qui fait naître un sentiment de bien être et le son de ta voix qui me donne envie de poser mes lèvres sur les tiennes. Le simple fait de t'avoir devant moi provoque quelques électrochocs au niveau de mon c½ur. J'aimerai figer le temps, immobiliser cette foule qui bougeait sans cesse, et t'immobiliser toi, pouvoir venir te prendre la main sans que tu le saches, embrasser simplement ta joue, ébouriffer tes cheveux, aussi. Tout cela sans que tu ne t'en doutes. Simplement pour me permettre de revivre.

___ Je t'ai souvent dit haut et fort que je ne pouvais pas pleinement vivre, quand tu étais à mes côtés. Mais le plus paradoxal dans tout cela, est que je ne peux pas pleinement vivre non plus si je suis loin de toi.

___ J'aurai aimé parler à Bill. Parce que je crois qu'il est le seul lien qui me relie à toi. J'avais trouvé mon remède à ma douleur, mon sparadrap pour panser mes plaies les plus voyantes, trouver un médicament pour me sentir mieux, même si tu n'étais pas là. Et Bill était mon remède. Bill aide Wendy, la fille au sentiments handicapés. La fille usée par l'amour, cabossée par la vie. Bill soutient Wendy, celle qu'il détestait dans le passé mais qu'il aime pour ce qu'elle a fait de Tom.

___ Avec Bill, j'aurais refait le monde. Avec toi Tom, j'en aurais crée un nouveau.

___ J'avais imaginé la scène mille fois dans ma tête. Cette scène.
___ D'abord, je me suis vue ne pas venir, rester à la maison et regretter de ne pas avoir fait le trajet, un verre de vodka dans une main et une cigarette dans l'autre.
___ Ensuite, je me suis imaginée être venue, avoir pris les transports en commun et m'être assise en plein dans ton champ de vision, au milieu de ce restaurant. Je me suis imaginée me lever et te sauter au cou au moment où tu aurais croisé mon regard, embrasser tes lèvres comme si c'était la seule chose que j'étais encore capable de faire ; puis repartir comme je suis revenue, le sourire sur le visage, te promettant attente et patience.
___ Et pour finir, je me suis imaginée venir, rester cacher derrière un magazine, scrutant chacun de tes faits et gestes pour ne pas en perdre une seconde. Je me suis imaginée attendre le bon moment pour venir te voir et te sourire d'un sourire qui se voudrait sûrement timide, te serrer dans mes bras de toute la force dont je disposais et te dire qu'une valise m'attendais à côté de ma table. Je me suis imaginée rester.
___ Seulement, rien de tout cela ne s'est produit.

___ Je n'aurai jamais du venir, Tom. Je n'aurais jamais du m'asseoir à cette table. Je n'aurais jamais du prendre ce train, ce taxi et encore moins rentrer dans cet endroit qui me glaçait le sang. Pourtant, j'étais là. Je suis là, à attendre. Je suis là avec cette peur au ventre, une de ces peur qui vous fait sourire, comme si j'attendais que quelque chose arrive sans l'attendre réellement. J'attendais que Bill dirige son regard vers moi, qu'il se concentre sur ma table, sur le magazine que je tenais dans les mains, qu'il plisse les yeux et qu'il comprenne que c'était moi, que j'étais venue. J'attendais qu'il termine de manger, qu'il paye et qu'il remonte dans sa chambre pour redescendre quelques heures plus tard, pour avoir confirmation sur son doute, qu'il me voit une nouvelle fois et qu'il me serre dans ses bras.

___ Alors je ferme les yeux quelques secondes, deux secondes de trop, paraît-il. Je souri faiblement, et je ne te regarde plus Je ne te vois pas remonter dans ta chambre, suivit par Bill. Je ne vois pas également les G² qui vous imitent quelques minutes plus tard. Je me concentre seulement sur le serveur qui vient de renverser un plat, sur la pluie qui vient de se mettre à tomber dehors, ou encore sur le couple qui discute un peu plus loin. Je ne vous ais pas vu, et j'ai raté, par la même occasion, la direction du regard de Bill.

___ Je décide de rester encore un peu, je commande une vodka, puis une seconde, et je ne fais pas attention au temps qui file entre mes doigts. Je ne vois pas l'heure à la pendule accrochée derrière la standardiste. Je reste à cette table. Certains diront que je ne m'y suis pas installée longuement, d'autres penseront le contraire. Pourtant, je suis restée assez longtemps pour le voir redescendre, comme je l'ai espéré un peu avant.

___ Je crois que le sentiment qui m'envahit quand je le vois pour la seconde fois s'appelle de la peur. Et cette peur, qui se veut effrayante mais qui me fait drôlement du bien s'est intensifiée lorsque son premier réflexe est de poser son regard sur moi, de me sourire et de s'approcher. Il commande une boisson au bar et il evient s'asseoir en face de moi, sans rien dire.


- Tu ne m'avais pas dit que tu venais, lança-t-il, souriant, trempant ses lèvres dans son verre.
- Je sais, je chuchotai, timide.
- Tu n'en avais pas l'intention ?
- Pas vraiment, non.
- Je comprends.


___ Ces simples mots me rassurent, m'apaisent. Je me sens en sécurité en sa présence.



- Je t'ai vu dès que je suis rentré dans le restaurant, tu n'es vraiment pas discrète, rit-il.
- Dans un sens, je n'avais pas l'intention de l'être, finis-je par dire, baissant la tête, le sourire sur le coin de la bouche.


___ Je me rends maintenant compte que mon magazine ne servait donc à rien, et que j'avais beau m'habiller d'une manière différente, relever mes cheveux et faire un chignon (ce que je ne faisais jamais), maquiller mes yeux et le reste de mon visage, Bill sentirai quand même ma présence.


- Tom ne sait pas que tu es là, laissa-t-il échapper alors qu'il allumait sa cigarette après s'être arrangé avec le serveur, car le restaurant interdisait cette action.
- Tu crois que c'est bien, ce que l'on fait ?
- De quoi est-ce que tu parles ?
Intrigué, il releva un sourcil.
- Je veux dire... J'hésitai. Tu sais, les appels téléphoniques en secret, les cartes postales que tu m'envoies chaque fois que vous changez de ville sans qu'il ne le sache. Et ça.
- Ça ?
- Ce qui est en train de se passer maintenant.
- Oh.


___ Je ne sais pas quoi dire.


- Eh bien, je pense que... Balbutia-t-il, timide. Je pense que s'il le savait, il péterai sûrement son câble. Mais je pense que ça lui ferait du mal, s'il te parlait ou même s'il te voyait ne serait-ce qu'une seconde. Même plus de mal que ça t'en a fait lors de cette soirée.


___ À croire qu'il sait tout de moi, qu'il lit en moi comme dans un livre ouvert. A croire que mes pensées sont notées sur mon front.


- T'as mal, pas vrai ? T'as mal parce que tu le vois mais que tu ne peux pas le toucher. Parce que tu le regardes sourire mais que tu ne comprends pas pourquoi. T'as mal parce qu'il était là, à quelques mètres de toi et que lui ne te voyait pas. Parce que tu le sens si près de toi tout en étant si loin. T'as mal parce que t'avais cette putain d'envie de l'embrasser mais que tu savais très bien ce qu'il se passerait si tu avais osé le faire. T'as mal parce que tu croyais que ça te ferait du bien de le voir, que tu pourrais réussir à mieux vivre par la suite, mais tu te rends compte que ça va être encore plus difficile. Alors ça t'irrite le c½ur et ça te pique les yeux, ça te tiraille la poitrine et ça te brûle les lèvres. Ça te bousille à l'intérieur, petit à petit, comme une plaie béante logée au creux ton c½ur.
- C'est pire que ça.


___ Il met sa main sur la mienne comme pour me rassurer, pour me montrer qu'il comprend et qu'il est là si j'avais besoin. Il trempe une fois de plus ses lèvres dans son cocktail de fruits et allume une deuxième cigarette qu'il laisse se consumer entre ses doigts, ne tirant que quelques fois dessus. Ces yeux se posent sur mon magazine et un sourire vient naître sur ses lèvres.


- Pourquoi ce sourire ? Lui demandai-je, de la façon la plus simple du monde.
- Tu as su choisir le seul magazine qui ne présentait aucune photo de nous et dans lequel tu ne trouverais pas un de nos noms écrits.
- Je sais.


___ Nous avons parlé de tout et de rien pendant une heure, peut-être deux. Nous avons parlé de la pluie qui tombe dehors et du beau temps qu'ils annonçaient pour demain ; de la tenue de la femme assise avec son mari qui est, d'après les remarques de Bill, bizarre ; de Georg qui n'arrête pas de sortir des blagues débiles dès qu'il en a l'occasion et du fait qu'il ne comprenne pas où il les trouvait. Il m'a parlé de chaque ville qu'il a visitée, de chaque pays dans lequel il a chanté et de chaque concert qu'il a joué, me décrivant méticuleusement chaque détails, avec une grande précision. Il m'a parlé de tous les magasins dans lesquels il est allé acheter des vêtements, rajoutant à quel point cela m'aurait plu tellement c'était rempli de bonnes affaires et d'accessoires aussi beaux les uns que les autres. Je lui ai parlé du canapé dans lequel je dormais chaque nuit, faute de ne pas avoir la force de dormir dans mon lit ainsi que de la boîte dans laquelle je rangeais toutes les cartes postales qu'il m'avait envoyées ; je lui ai confié mes peurs en ce qui concerne mon appréhension de mes retrouvailles avec Tom ainsi que du manque qui s'était installé en moi et qui s'agrandissait au fur et à mesure que le temps passait. Nous avons discuté de tout et de rien, comme nous avions l'habitude de le faire, avant.

___ La pendule affiche une heure tardive et je sens déjà le moment des aux revoir arriver. Un pincement au c½ur survient et je pense que cela s'est vu sur mon visage car Bill vient s'asseoir à côté de moi pour me prendre dans ses bras et me serrer contre lui avec amitié. Je passe mes bras autour de son cou pour pouvoir me blottir un peu plus contre son torse et hume son parfum qui enivre mes narines. Ce parfum que je ne connais que trop bien et qui ne peut me rappeler que toi, Tom. Je me relève, me recule un peu pour pouvoir le regarder une nouvelle fois dans les yeux et c'est sans difficulté que j'arrive à lire dans le regard de mon meilleur ami. Son regard voulait dire que tout irait bien, que le temps passerait vite, et que j'allais bientôt le retrouver et retrouver l'homme qui faisait battre mon c½ur.

___ J'aurai voulu le raccompagner au pas de la porte de sa chambre, le suivre dans les escaliers et passer devant toutes ces portes en me demandant si celle-ci ou bien celle-la pourrait bien être la tienne, Tom. Parier sur une de ces portes et en ouvrir une, au hasard, et t'apercevoir dans un lit aux draps blancs en train de dormir profondément. Mais cela se trouvait impossible, pas dans cette situation. Alors, je me suis simplement levée et c'est lui qui m'a raccompagnée dehors, qui a fumé une dernière cigarette avec moi, qui m'a prêté sa veste pour me réchauffer et qui m'a rassurer une nouvelle fois en me disant de vive-voix :


- Tout ira bien.


___ Je n'ai pas eu d'autres choix que de le croire. Il me serre de nouveau contre et lui et embrasse ma joue avant de rentrer dans le restaurant. Je le suis du regard et ne le lâche pas jusqu'au moment où il disparaît dans la montée de l'escalier. Il ne me reste plus qu'à marcher un ou deux kilomètres pour prendre le prochain bus qui me mènerait à la gare et pour ensuite monter dans ce train qui m'éloignerait de toi. Rentrer à la maison et m'affaler, enfin, sur ce lit dans lequel je ne voulais pas dormir, en pensant à toi.

___ Le paysage défile à une vitesse folle sous mes yeux et le contrôleur de billet me sort de mes pensées en me demandant mon billet de train, que je lui laisse voir sans broncher.

___ Peut-être avais-je fait une grosse erreur en venant te voir ce soir, Tom. Peut-être était-ce une énorme connerie de m'être laisser remarquer par Bill et d'avoir passer la soirée avec lui. Peut-être, sûrement. Mais c'était fait. Et même si j'étais de ces personnes qui regrette souvent ce qu'elles font, je ne pouvais rien y faire.

___ Alors j'attends, encore et encore, que le temps passe, que le train arrive à la gare pour descendre. Puis, je sors du wagon, je traverse le grand hall de l'immense gare pour en sortir, et j'allume ma cigarette pour m'occuper les mains et éviter de me ronger les ongles. Je marche d'un pas rapide vers la maison et pousse le grand portail. Une légère brise vient souffler doucement sur mon visage, serait-ce un signe ? Serait-ce toi, Tom, qui vient me dire bonne nuit ? Serait-ce toi qui vient me caresser la joue avec douceur et amour ? Viens-tu me dire que tu es avec moi par la pensée, que tu ne m'oublies pas, que tu penses à moi ce soir plus que les autres parce que tu as senti ma présence et que tu m'aimes ? Je l'espérai.

Mais espérer l'impossible était-il réellement envisageable ?

___ Je cherche les clés dans mon petit sac et quand je parviens enfin à les trouver, j'ouvre la porte et rentre dans la maison. Mes pas me guident vers ma chambre et comme je le voulais, mon corps tombe sur le lit. Un sentiment de solitude m'envahit. C'était étrange. Me retrouver dans la même pièce que toi me tiraillait, me brûlait, me faisait atrocement souffrir ; mais être dans une pièce dans laquelle tu n'étais pas me faisait pratiquement le même effet. Mon amour pour toi était en train de me tuer.

___ Alors comment faire quand on se retrouve dans ce genre de situation ? Comment faire quand le manque devient insupportable et qu'on a une terrible envie de crier au monde qu'on n'en peut plus ? Comment faire quand l'amour que l'on porte pour quelqu'un devient tellement fort que cela finit par être douloureux, trop douloureux ? Comment arrive-t-on à aimé quelqu'un tellement intensément que cela nous bousille à l'intérieur et qu'on ne puisse plus rien faire pour freiner cette passion grandissante ? Comment faire pour arriver à survivre dans un monde où tu n'étais pas, Tom, sachant que c'était moi qui avais choisi cela ? L'amour que je ressens pour toi est indéniablement unique et fort, tellement fort qu'il n'existe sûrement aucun mot pour le décrire à la perfection. Et ce soir, Tom, cet amour me dévore, cet amour me déchire ; mais cet amour me rend heureuse plus qu'il ne me tue, et me donne la force de vivre plus qu'il ne me détruit.





____________________

Chapitre vingt-neuf.

Enfin me direz vous. D'ailleurs, c'est aussi ce que je me dis. Je m'excuse de tout ce retard. La terminale Scientifique c'est dur, je bosse tout le temps pratiquement, j'essaye de sortir aussi pour m'aérer l'esprit. Je profite des vacances pour vous poster ce chapitre en espérant qu'il vous plaira.

Pour tout vous dire, je l'ai recommencé un dizaine de fois, je ne sais plus trop ce que je veux écrire. Mes pensées se perdent, je perds mes mots. Peut-être parce que les souvenirs que je veux induire dans mon histoire sont trop lointains. Peut-être parce que je suis vraiment passé à autre chose. Je ne sais pas.

Je ne sais que vous dire. Vous avez le droit d'aimer, de ne pas aimer aussi. Vous avez le droit de me le dire, de me donner des suggestions, de me faire des remarques, des avis construits. Vous avez le droit de me pardonnez pour les petites choses maladroites dans ce chapitre, car c'est peut-être ce que j'étais avant, maladroite. Vous avez le droit de ne pas me pardonnez non plus.

Si vous ne me lisez plus, merci de me le dire. Je comprendrais, je ne suis pas ponctuelle.

Dans tous les cas, je vous aime.
Merci de me faire vivre tout ça, merci pour vos fabuleux commentaires, je prends le temps d'y répondre tout le temps, il me donne le sourire.



Mon Twitter : @ChoupieChlo

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#Posté le samedi 03 novembre 2012 11:04

Modifié le jeudi 08 novembre 2012 13:24

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Visiteur, Posté le lundi 19 août 2013 11:31

Encore un super chapitre, c'est avec impatience que j'attends la suite :)


SkinFever, Posté le vendredi 02 août 2013 09:34

Je viens de finir de lire ce chapitre et, comme toujours les même sentiments sont présent... Je ne sais pas comment tu fais, mais chacun de tes chapires me transportent littéralement... En les lisant c'est comme si je me déconnectais de la réalité et à chaque fin de chapitre je me retrouve un peu perdu tellement tes mots ont su m'emmener dans un autre monde. Il me faut à chaque fois quelques minutes pour reprendre mes esprits. Je tenais à te dire que n'arrive pas à voir de différence avec tes anciens chapitres, pour moi ta plume reste la même et tu n'as rien perdu de ton talent.

L'histoire de Tom et de Wendy est tellement intense, ta façon d'écrire fait que j'arrive à ressentir toute la douleur qui habite Wendy à ce moment de l'histoire. Et je la comprends tellement, quoi qu'elle fasse, elle souffre tout simplement parce que l'amour qu'elle ressent pour lui est trop important... Si elle reste elle souffre parce qu'il reste tout de même inncaccessible, le fait de ne pas le voir n'est pas plus suportable et le fait de le voir en secret est tout aussi douloureux... Je ne vois pas de solution... Mais leur amour est tellement beau qu'ils ne peuvent pas ne plus s'aimer pour arrêter de souffrir. Je trouve que c'est encore plus dur dans ces situations : quand deux être s'aiment mais que la vie les pousse à se séparer, car lorsqu'un des deux n'aime plus, lorsque l'un a trahi l'autre, on a alors une raison pour tirer un trait sur cette histoire, là ce n'est pas vraiment leur choix, rien ne clochait entre eux, ils ne peuvent pas s'en vouloir l'un l'autre et vivront toujours dans le regret s'il ne sont plus ensemble... (je ne sais pas si je suis très clair, je pense que mon histoire personnelle semblable à celle de Wendy et Tom a parlé pour moi ce qui explique mon engoument incontrôlé)

Le temps aide à se faire à l'idée de quelque chose, à rationnaliser mais il n'efface pas la douleur... Elle est toujours présente et tiraille toujours même après des années...

Je comprends qu'elle ait voulu le revoir. Quand le manque se fait sentir à ce point, on qu'une envie que tout s'arrête... Et on se dit que si on a mal loin de lui peut-être qu'au-près de lui ça ira mieux... Même si ce qu'il se passe est strictement l'inverse et que la douleur nous tiraille toujours de l'interieur...

La relation entre Bill et Wendy est superbe elle aussi. Je trouve qu'elle est vraiment bien mise en valeur dans ce chapitre. J'ai l'impression que Bill est un peu comme un pilier pour elle. Elle a une entière comfiance en lui et se repose complètement sur lui.
Je pense qu'elle a besoin de cette relation, heureusement que ce dernier et là pour elle.

Les dialogues entre eux deux me fait toujours le même effet : je ne peux pas m'empêcher de sourire à chaque lecture. Je trouve leur relation si attendrissante...
Le fait que Bill ait senti tout de suite la présence de Wendy est aussi très touchant, ça montre à quel point ils sont proches l'un de l'autre.

"- Il me dit que tu lui manques, qu'il t'aime un peu plus chaque jour qui vous sépare. Que ne plus t'avoir à ses côtés lui tiraille l'estomac, qu'il lui est difficile de ne pas pleurer quand il se retrouve seul dans sa chambre. Il me chuchote qu'il aimerait arrêter la musique pour te rejoindre mais qu'il ne le fera pas car il sait que ce n'est pas ce que tu veux. Il m'assure que tout va très bien quand je lui demande s'il a besoin de parler, mais baisse le regard et me raconte certains moments que vous avez passés ensemble, dans le passé. Il m'avoue qu'il savait qu'un jour où l'autre tu partirais sans vraiment le quitter, mais qu'il ne pensait pas que ce serait si vite. Il me demande souvent si j'ai de tes nouvelles mais je ne dis jamais plus que « elle va bien ». Il me dit souvent qu'il appréhende vos retrouvailles, qu'il a peur de ce que vous allez devenir."
Ce passage a failli me faire pleurer... J'avais les larmes au bord des yeux...

Je ne sais pas si ce qu'ils font par rapport à Tom est bien... Je ne sais pas si Bill devrait lui dire qu'il est resté en contact avec elle et qu'il lui donne des nouvelles... ça ne ferait peut-être qu'agraver la douleur de Tom... (même si je pense que ce dernier n'est pas dupe et qu'il se doute de quelque chose )

" Avec Bill, j'aurais refait le monde. Avec toi Tom, j'en aurais crée un nouveau. "
Cette phrase est tellement belle et tellement bien trouvée...

Voilà un peu ce que je tenais à te dire sur ce chapitre.

Surtout ne t'excuse pas pour ton retard.

D'une part je comprends que tu sois très occupée par tes études (ayant moi aussi fait une terminale S il y a un an je sais la charge de travail qu'on nous impose) (au fait as-tu eu tes resultats ? si ce n'est pas trop indiscret bien sur :$ )

D'autre part je tiens moi aussi à m'excuser pour le temps que j'ai mis à commenter ce chapitre. Les années post bac ne sont pas de tout repos non plus et entre les cours, les concours, les stages, mon premier emploie, mon emmenagement seul dans une autre ville, j'ai horriblement manqué de temps (ce qui explique mon abscence complète des blogs pendant presque un an).

Merci à toi de nous faire vivre cette histoire, merci de ces petits moment d'évasions que tu me fait vivre à chaque fois. Merci de faire vivre l'une des plus belles histoires d'amour qu'il m'ait été donné de lire.

Je te souhaite bon courage pour la suite de ton histoire :) sache juste que je serai au rendez-vous.

Merci encore une fois.

Passe une bonne journée et à bientôt peut-être :)

Bisous.

Lili ^^


TOM-ADDICTion, Posté le dimanche 03 mars 2013 11:25

Toujours des claques à travers l'émotion de tes personnages. Tu marques bien leurs états, l'un sans l'autre ça ne va pas. Et ton chapitre montre combien on se rappelle de chaque détail de l'autre quand il n'est pas là combien il n'y a que LA personne qui compte au plus profond de nous.


mijnkleinester01, Posté le jeudi 27 décembre 2012 10:19

COucou Miss;

Je suis désolée de t'avoir fait patienter un peu.
Mais J'ai enfin un peu de temps devant moi & Je prends donc l'occasion de venir commenter ce chapitre.

Comme toujours,il est emplie d'une émotion palpable. Je m'explique.
ON a toujours la sensation étrange de jouer sur deux sentiments.
Il y a le manque mais par ailleurs c'est un choix que Wendy à fait. Alors, Je me demande souvent comment elle a fait ce choix ?
Elle savait presque d'avance que ça lui ferait autant mal ... Qu'est-ce qu'elle essaye de se prouver ? Je ne suis pas sûre de toujours la comprendre en fait.
Mais Je ressens parfaitement ce que tu tentes de décrire. & c'est vrai que certaines relations d'amour peuvent s'avérer douloureuse Que la personne soit là, ou Qu'elle ne soit pas présente & c'est très difficile de s'en sortir quand le coeur vous Joue un tel tour & quand il ne sait plus si c'est la présence ou l'absence qui est la plus douloureuse, ...

J'ai hâte de savoir comment tout cela évoluera
Bisous
A très vite


Fic-invention, Posté le mercredi 26 décembre 2012 16:17

Je suis contente de savoir que tu es déterminée à finir cette histoire malgré tout ^^
C'est ce qu'il faut, de la détermination =)
Il faudrait avoir un coeur de pierre pour ne pas être touché par ton histoire !! Tu nous fais passer par tellement de sentiments que l'on est obligé d'en ressentir au moins un =)
Mon petit coeur bat la chamade à chaque fois ^^
C'est un honneur de faire partie de tes lectrices =)
Bisous <3 et passe de bonnes fêtes !!


camzee, Posté le mercredi 12 décembre 2012 22:01

Désolée je ne suis pas passée lire dernièrement mais j'adore ta fiction et je viens de me mettre à jour dans la lecture :)

Superbe suite j'aime vraiment l'histoire et j'espère que les personnages ne vont pas souffrir trop longtemps.


th-fan-fic-81, Posté le jeudi 29 novembre 2012 13:03

Lucille a écrit : "C'était un chapitre ultra magnifique. En fait, c'est surtout ton paragraphe de fin que j'ai adoré. Tout ce que tu dis est vrai, jusqu'à la dernière lettre. Et j'aime la façon dont tu décris l'état de de Tom et Wendy. Parce qu'ils sont pareils, ils ressentent les mêmes choses, on a l'impression qu'ils sont à la fois si proches et si loin... Même au chapitre 29, on se demande encore ce qu'ils vont devenir, ces deux là... C'est indéniable, ils sont fait pour vivre ensemble. Mais parfois je me demande s'ils ne se font pas plus de mal qu'autre chose... je n'arrive pas trop à savoir.
Mais je trouve que Bill est parfait. Heureusement qu'il est là....
Je me demande comment la situation va évoluer, si toutefois elle évoluera ... On dirait qu'ils sont condamnés à rester comme ça ... A continuer à s'aimer, mais à rester éloigné ... J'espère qu'ils arriveront à trouver leur place, sans qu'ils ne souffrent.

Bon travail, en tout cas :)
"

Oh, merci beaucoup (encore), pour ce commentaire qui me fait vraiment plus que plaisir. Comme d'habitude je suis contente de voir que tu aimes ce que j'écris, et contente de voir que tu me suis malgré mon retard.
Je ne sais pas trop quoi te dire, si ce n'est, attend la suite pour avoir la réponse a toutes les questions que tu te poses !
A très bientôt !


th-fan-fic-81, Posté le jeudi 29 novembre 2012 12:33

Mein-Liebe a écrit : "Je suis tombée par hasard sur ton blog. Je ne pensais pas qu'il était encore d'actualité et pour être honnête, j'ai été agréablement surprise. J'ai réalisé en regardant leur dvd par ennui, qu'ils me manquaient. Qu'ils étaient cette partie de ma vie que j'avais jugé terminée. Mensonge. Et lire ta fiction me donne l'impression qu'ils sont encore là, qu'ils vivent toujours encore un peu dans nos c½urs. Alors j'ai créé un blog, de nouveau. À l'âge de 17ans j'écrivais ces petites histoires car elles me faisaient rêver. Et aujourd'hui j'en ai 21, j'ai besoin de rêver. J'ai besoin d'écrire et de les faire vivre un petit peu dans mon c½ur. Ta fiction est apparue sous un bel hasard. Et je suis heureuse de voir qu'il y a encore des gens comme moi.
Tu écris très bien, avec un français parfait, des tournures de phrases parfaites. Que dire d'autre si ce n'est, continue? Tu m'as donné envie d'écrire. Ce n'est pas rien.

Bonne continuation. Et merci, beaucoup.
"

Je suis très contente de t'avoir fait découvrir mon histoire et de t'avoir agréablement surprise, dans tous les cas, je suis heureuse de t'avoir redonné l'envie d'écrire. Si un jour tu repasses, n'hésite pas a commenter.
A bientôt peut-etre.


th-fan-fic-81, Posté le jeudi 29 novembre 2012 12:24

Léaa a écrit : "J'adore ce que tu écris. Même si tu met du temps, je viens régulièrement pour savoir s'il y a une suite. J'ai une boule a la gorge quand je te lis, certain passage me donne envie de chialer. Bref', j'adore, je te pardonne ( (a) ) et je continuerais à te lire :)"

Oh, merci pour ton commentaire, je suis contente que tu aimes !
J'espère te retrouvé très vite, quand j'aurai posté le prochain chapitre !
Bisous!


Fic-invention, Posté le mardi 27 novembre 2012 13:57

Je comprends. Je ne suis pas en Terminale, je n'ai pas tant de boulot que ça mais je comprends le fait que tu n'ais pas de temps pour écrire. Comment t'en vouloir d'ailleurs ? Il faudrait être un monstre pour préférer avoir une suite rapidement plutôt que tu réussisses ta scolarité !! Sincèrement, tu n'as pas à t'excuser de ton manque de temps =)
Pour ce qui est du chapitre, il est toujours aussi génial, mais je ne sais pas quoi dire d'autre ^^
Je me répète encore et encore, mais que dire de plus ? Cette histoire est tout simplement magnifique, chaque mot est un torrent de sentiment qui s'abat sur tes pauvres lectrices ^^ Je ne sais pas pour les autres, mais c'est exactement ce que je recherche dans une lecture : ressentir les sentiments, les sensations que l'auteur cherche à faire passer. Ce serait trop plat sinon !! Et j'ai trouvé mon bonheur dans ton histoire. De la déchirure, de la douleur, de l'amour, de la gentillesse, du réconfort, de la colère aussi envers ce couple qui n'est pas fichu de rester ensemble xD
C'est tout simplement magique =)
Alors peut-être que tu as de plus en plus de mal à écrire une suite. Tout ce que je te demande, c'est d'aller le plus loin possible =)
Mais pour être arrivée jusqu'ici, je te remercie du fond du coeur pour tout ces moments passés à te lire, et à discuter avec toi aussi de temps en temps !! =)
Je te fais un gros bisous <3 et te souhaite bien du courage pour tes études, je suis sûre que tout ira bien =)


Love-In-You-Fic, Posté le mercredi 21 novembre 2012 12:07

salut! J'ai enfin trouvé le temps de te lire :)
C'est toujours aussi bien, j'aime toujours autant. Ton écriture, la façon de penser de Wendy, leur histoire, Bill, Tom.. Cette idée de l'apercevoir a l'hotel, j'l'ai trouvé vraiment bien placé, ça fait avancer l'histoire ! J'ai hâte de découvrir la suite, j'essayerai de passer plus tot que les autres fois :)

A très bientot j'espère !!


HEART-DESTR0YED, Posté le samedi 17 novembre 2012 08:42

Coucou, je suis vraiment désolé de venir que maintenant pour lire le chapitre mais je suis également en Terminal et il y a des tonnes de boulot ! Alors je n'est pas tellement le temps de passer. :/ Pendant 4 semaines je serais en stage alors si tu poste un chapitre je ne passerais pas que pendant les vacances de noël sinon pour le moment je vais te dire de continuer de me prévenir mais j'ai vraiment tu retard je te préviendrais de ne plus le faire. Sinon pour se chapitre j'aime bien c'est cool que Wendy et Bill se soit vu. :) Mais je pense que Wendy et Tom se voie et qu'il aille une vrai discussion pour leur avenir car il s'aime mais on voit bien qu'il se déchire un peu plus chaque jour. :/ Bon je vais te laisser, a bientôt bisous.


Lucille, Posté le mercredi 14 novembre 2012 16:35

C'était un chapitre ultra magnifique. En fait, c'est surtout ton paragraphe de fin que j'ai adoré. Tout ce que tu dis est vrai, jusqu'à la dernière lettre. Et j'aime la façon dont tu décris l'état de de Tom et Wendy. Parce qu'ils sont pareils, ils ressentent les mêmes choses, on a l'impression qu'ils sont à la fois si proches et si loin... Même au chapitre 29, on se demande encore ce qu'ils vont devenir, ces deux là... C'est indéniable, ils sont fait pour vivre ensemble. Mais parfois je me demande s'ils ne se font pas plus de mal qu'autre chose... je n'arrive pas trop à savoir.
Mais je trouve que Bill est parfait. Heureusement qu'il est là....
Je me demande comment la situation va évoluer, si toutefois elle évoluera ... On dirait qu'ils sont condamnés à rester comme ça ... A continuer à s'aimer, mais à rester éloigné ... J'espère qu'ils arriveront à trouver leur place, sans qu'ils ne souffrent.

Bon travail, en tout cas :)


moi-elle-fic-eux, Posté le mardi 13 novembre 2012 09:28

Juste magnifique. Sa m'a donner les larmes aux yeux. Franchement mille bravo pour ta fiction. Elle est magique, magnifique malgré les moments de bas. Préviens moi de la suite .
Bisous

Salomé


meinxgrund--x3, Posté le dimanche 11 novembre 2012 14:43

Bonsoir, désolé du retard. J'aime toujours ta fiction mais je me perd énormément je dois dire :/ Je ne sais plus quoi penser de la relation qu'entretien Wendy & Tom. Mais j'espère que ça va s'éclaircir dans mon esprit au fil des chapitres =)


missbilltom54, Posté le samedi 10 novembre 2012 21:03

J'adore!!
Préviens moi & hâte de lire la suite!!
Bisous!!


lu-love-de-tom-op, Posté le vendredi 09 novembre 2012 16:41

Bonsoir !!

Ne t'inquiète pas pour le retard je comprend d'ailleurs je le suis aussi --'
Ce chapitre était vraiment bien comme toujours !!
J'étais dedan du début à la fin. Leur histoire me prend aux tripes c'est un truc de fou !! Tu décris vraiment bien les choses. Tu sais nous transporter et nous faire vivre l'histoire à fond.
En tout cas ne m'oublie pas pour la suite !!

Gros bisouxx à bientôt


x3-483-tokiohotel-483-x3, Posté le vendredi 09 novembre 2012 15:25

Ca fait toujours plaisir de voir que maintenant Bill et Wendy sont amis


x3-483-tokiohotel-483-x3, Posté le vendredi 09 novembre 2012 15:25

Quand ils sont ensemble ca ne va pas,quand ils sont séparer ca ne va pas non plus
On verra ce qui va se passer quand ils se retrouvront,j'espére que tout ira bien pour eux,ils méritent de vivre heureux


Xx-ThFiic-xX, Posté le jeudi 08 novembre 2012 18:57

J'aime beaucoup ce chapitre encore une fois ! (Hier je croyais l'avoir commenter mais j'ai pas du appuyer sur poster ^^') Je pense que Wendy n'aurait pas du venir parce que ça va lui faire encore plus de mal, surtout qu'elle n'a pas eu le courage de parler à Tom, ce que je comprends ! J'espère quand même qu'ils auront une discussion pour tout mettre au clair et peut être recommencer quelque chose :) Je veux toujours être prévenus bien entendu mais depuis un petit moment j'écris une Fiction sur les One Direction donc ne t'inquiète pas si je tarde à lire ton chapitre, c'est parce que je vais moins sur ce Blog, voilà tout ! Je te souhaite bonne chance pour la suite et à bientôt !


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